A l’heure ou nous traçons ses lignes, le monde est en plein désarroi intellectuel, il fabrique l’irrespect de l’esprit critique. La monomanie de la culture du propre bien lisse et la fièvre de l’individualisme se distingue dans intellect hylique, intellect alimentaire acquis par l’absorption de la doxa actuellement soumise à l’ego des banquiers. L’homme révolté de Camus appartenait à l’intelligence émotionnelle. Une faculté contemplative dans l'homme dépend actuellement des médias aseptisés par un parti unique.
Bouregreg serpente sur les lignes régulières, un bouregreg c’est le glouglou d’un fleuve entre deux rives, comme deux années qui se franchissent dans un vol au-dessus des préjugés, meilleurs voeux à ceux qui n’auront pas l’esprit de parcourir ce lien entre les rivages de la transmutation: Hello, hello! bonne vieille terre! laboure ta crête, tourne et retourne sans cesse ta surface, vieille face bleue, irrigue tes pensées et glougloute de plaisir en prononçant buargrag, comme un serpent au sang froid, tu te réchauffes sous les pâles rayons du terminal F, F comme Funcky ou Funny, ça fait envie de te quitter ma belle F..rance, ce beurre perdu sent les racines atrophiées par un titre de séjour prolongé. Roissy tire sa révérence , allo Roi ici nous voici, je suis orphelin de mon père l’âme supérieure au-dessus de Bouregreg. Un lien sacré avec les Atlantes se faufile entre Rabat et Salé, il veut rester un territoire indépendant et reste cachée par les nuages de ses rêves stratosphériques.
A noter la silhouette d'une armure d'Europe orientaliste au milieu d'une colline: un plastron globulaire court sur une faille encore assez longue et continuerait de se raccourcir dans les années 1450, après avoir été beaucoup plus longue et plus profonde entre 1430 et 1440 de l'Hégire. .
À 10000 pieds c’est le seuil critique d’une raison pure, à cette hauteur, l’esprit des hommes se dilate dans la matière de l’aura. Tu l’aura ce voyage, ton avion dessine une auréole d’évidence autour du Monde libre. L’édredon des nuages flottant sur matelas de confiance terrienne piège tes rêves à travers le hublot, c’est un trou dans la carlingue qui emprisonne tes pensées. Tu laisse des valises de soucis en soute.
Un monde d’où l’on ne revient toujours pas, d’ailleurs à quoi bon revenir sur ses
pas ? les nuages ne marquent pas l’empreinte de tes pieds de nez à l’intelligence du tout puissant, leurs cimes sont glissantes et humides comme ton grand front d’intellectuel en mode sudoripare, la tension fait perler tes tempes avant la pluie des contradictions, elles transforment ta verve si à l’aise dans les malaises et les foutaises, là-bas tout en bas tu règne en maître chanteur des fausses valeurs.
Plusieurs vols annulés vont être groupés en
747 sur Paris-Casa ! l’esprit amérindien est
venu sécher mon front, en transit d’espoir:
revoir mes frères Apaches avant que le
continent ne se détache....
Mais ou sont les anges déchus de la nationalité des Libres Penseurs ? Je viens de réaliser que ce 747 nous transporte sur une ligne intérieure
les passagers seront largués au dessus d’une destination meilleure, Contemple l’ assiette d’aluminium et ton esprit sera que du bonheur J’aime tes jeux de mots de garçon coiffeur
Tes blagues de bluffeur mettent de l’humeur
En fait je me sens super bien en éco , l’odeur de parfum masque la sueur Ce mélange subtil puisse t’il endormir ta méfiance des classes moyennes , t’as peur ?
Derrière ton casque et tes lunettes noires on voit bien que tu est un riche vainqueur
Par accident ton corps est mélangé au peuple et nos esprit se diluèrent ... Toi le président des Chutes chut taisez vous, les journaux perdent leurs nerfs,
Alors mister président listen to me now ,
Le français et le latin sont des frères ,
Ils sont devenu des langues mortes , alors mist-president écoute les voix se taire
Ton peuple a trop souffert de ta politique à l’envers, ta femme à l’air pervers.
Ah ces chineurs, ils ramassent ceux qui veulent plus de la guerre des étoiles en pleurs, battent la monnaie des Jaunes, ici git laid ce paysage ,ça Chine les matières premières, made in Transe. On voit tout du hublot, le peuple si bas, les classes moyennes qui transpirent les économies dans des places tassés, le fard de Brigitte coule sur le siège de la rue...
Mystères président, ohhh Mista président dis nous vers quel pays tu voles ??? ou quel pays tu as volé , bon vol et bonjour Mélanie.
Le bon et loyal 747 est toujours là en seigneur des nuages , son pilote vit à Malte chez Opus Dei, ohhhh divin supérieur...croit les croisés , cruise missile et cru missel, crucifié par ton père français, il te renies, t’es interdit d’exporter les snipers et le matériel sécuritaire , alors que faire ???
La Franche...ouille!!! est trop régionale et identitaire, à force de vouloir assimiler et intégrer sans échanger; arrogante, elle prêche dans les pétro-déserts où personne comprend plus Molière. La farce à fric ou France Afrique, c’est fini, trop petite pour résister aux appétit des gros, alors il a pris son pinceau et délimité d’un trait sûr son nouveau tableau de l’Afrique , et il s’y connaît c’est le président ....le world président of the biggest compagnie, nie l’évidence.
747 désirs m’attendent à bord du Air Force One , n’oublie pas le numéro 5 Coco , c’est l’heure du boutique french-shop en zone franc, les commerces sont libres, les douaniers sont gommés d'un coup d'aile, plus de pudeur, dans un combat inégal avec ton code PIN, tu te régale en président régalien, c’est égal, tu voles en classe et joue aux dés avec les nuages. Le peuple des rampants appartient à une compagnie aérienne dont tu peux te séparer facilement, avec un parachute doré, et hop un saint-siège éjecte une compagnie de pathos critique.
La couche d’émulsion en chute libre profite à toutes cette émotion spirituelle , elle filtre les meilleures particules pour rester une race aussi pure, tout en bas les transferts s’opèrent dans les guerres entre univers.
Dans cette noble pourriture nous donnons le bain à nos jalouses incompréhensions, de là haut que l’on ne voit plus désormais; l’esprit d’éther qui se condense en eau bénite, la poudre aux yeux de nos prétentions se transforme en crème, stade final crématoire, elle brûle de s’en sortir et s’affine en gros fromage puant.
Le fromage fait vendre la télé réalité ou l’inverse ? Nous ne suivons plus réellement des plateaux de télévision mais des plateaux teléfromage,la télé-fromagerie c’est néandertalien qui devient sapiens, la connerie passe les frontières du bon sens avec la complicité des gardiens du temple: les journalistes salariés du pouvoir en lévitation au-dessus des masses nuageuses ou moyenâgeuses.
Grippe virale ou esprit grippé? Les pathologies s’agrippent au corps sains et se transfèrent comme un logiciel pour limiter la surproduction de misère. Une colère dans la stratosphère réchauffe la terre devenue zone de transfert, tous en enfer?
Pourquoi ne pas faire transiter tous les comptes du paradis, fils prodigue et co-locataire de nos affaires que tu gères en vie homo-banquière. Elle consulte ses voyantes et prévoient mon bonheur en wifi. Il survit en zone de pudeur, son historique est revendu par les réseaux sociaux, ainsi va la vie, l’instinct heureux plane avec des ailes en forme de sourire partagé, allez vient cher esclave de tes recherches sur la toile; tu devînt devin, je te prêterai une plume de mes ailes d’ange, comme ça t’arrangera, écris cette histoire étrange, de l’esclave moderne dans sa zone de turbulences; dans un trou d’air, il retrouve sa marge bénéficiaire avec sa mémoire fossile,
fausse îles du possible; elles sentent le posé-cible ,possible dommage. Les passagers dorment les âges anciens du libre penseur en apesanteur.
Mon âme gît loin de ces étrangetés , un instant je la transfère hors de sa sphère, voilà cette civilisation du transport aérien, air de rien, elle opère à ciel ouvert, ,ses ailes nivellent nos anciennes différences ,d’abord oublie ta grotte de fossile puis vient en zone de transfert, infuse ce qu’on te refuses, pendant qu’ici, ils s’amusent de se bonheur que tu refuse pour filer tes sens dans les courants d’air froid. Tu veux, donc tu penses, ton cœur bât encore quelques vengeances, alors que ton âme voyage en classe affaire. Tes crises viennent quand tu regardes en arrière. Les sièges des classes écos sont surbookés par de terribles colères.
Bien tassées dans leurs pièges ailés, s’agitent fort, Au gré des turbulences, elles cherchent un support, De vaines psychanalyses de groupe collent au corps,
Sur une foule de ressentiments, transpirent en cœur, Pulsant leurs réserves d’esprit, ils crient leurs peurs ,
Ecoute ton cœur ,il bat son rythme plus fort encore, Laisse tes sens vides manger seul, bien des remords,
Oh !!! esprit vole plus haut que tes désirs d’homme Remet ton âme au son des anges, où elle résonne,
Il n’y a plus rien d’autre dans cette pauvre personne,
Au loin je distingue à peine sa forme et son pourtour, Une carlingue sans ailes vole à son secours sans détour,
Elle agite encore son corps au gré de ses crises d’égo Sans héros sa vie c’est du zéro, tu deviens son nigaud,
Vas-y mon Joe , rattrape l’avion il s’en va avec son cœur , Vole et suis le partout si il veut rester ici bas avec ta peur,
Elle se ballotte au gré des ondes , avec tout un faux monde Reste bien assis dans ton siège avec les sens qu’elle sonde
Quand gronde sa rancœur, elle touche pas ton cœur. Fixe ta peur, attache là à tes vieux songes de malheur,
Tu rêve d’atterrir et enfin de rebondir sur un autre chemin Tes roues touchent la solitude de tes certitudes de gamin Tu planes sur tes anciennes conquêtes, sans lendemain,
Celles que t’as pas pu séduire dans ta tour de self-control, Alors chauffe les pistes de la danse du coeur, suis son envol, Surtout, accroche toi à son beau fuselage quand elle décolle,
Avec elle, tu fusionnes la matière de l’amour fou et délicieux,
Transmute dans les nuées des anges qui se frottent aux cieux
Tes yeux sont des hublots ou les esprits se lovent, Touche pas aux poussières de matières qui se sauvent,
Allez vient et écoute battre son cœur, il pulse si bien, A quinze mille pieds tu prends le tien dans ce refrain ;
Du sol tu peux pas toucher mon cœur ,il vient du soleil, Ses rayons réchauffent tes ailes d’anges si près du ciel Tu l’aimes dans ce vol sans escales vers la lune de miel.
Tel Sysiphe tu roules ton rocher de grêlons au sommet des cumulus sans jamais l’atteindre, traverses bien la Méditerranée et lie tes pensées au sort des nuées, elles sont d’ici et d’ailleurs, mais disparaissent si tu les racontes avec les mots d’aujourd’hui, comme d’immatérielles consistances, notre vocabulaire ne saurait les saisir et cela n’est pas une préoccupation pour les prisonniers de cette carlingue qui va d’escales en escales , brûlante de découvrir des territoires étranges.
C’est vraiment une bétaillère, pas un morceau de lard dépasse des sièges, chaque passager retient ventre , fesses, en buisness, ils ont des têtes moins stress , ce n’est pas la compagnie aérienne qui nous intéresse, mais seulement voyager en compagnie de l’ami des dieux et du philosophe bouclier nous sommes bouclé dans un tube comme un cortex volant qui nous sert de médium dans ce groupe d’humains , 200 pers à 931 km /h , forcement chacun se met dans une bulle,elle passe sans vraiment s’arrêter nulle part. Les ondes que nous captons à présent sont la clef de cette histoire.
Sans le vouloir, nous laissons givrer le bras tard, Gibraltar comme un rebondissement possible de notre narration, elle s’improvise dans le déroulement de l’action qui va se corser à l’insu de notre destiné de bête taille humaine, comme le bétail humain, petite précision c’est quoi du bétail humain ?
Du bétail, c’est de la viande sur pied, des pieds bientôt inutiles mais bien assez pour mener sa viande aux 10 000 pieds et oublier la face humaine des veaux qu’on mène à l’abattoir, ils pleurent leurs mères en suçant les restes de sauces dans des barquettes en vinyle .
Le survol du des droits ibères sur le détroit libère quelques consciences étroites dans un permafrost fidèle à son poste. Nous participons au réchauffement de la planète du désir, il se condense en nuages de plaisirs..
Ce contrôle à 100 p100 de la définition d’un bétail ne laisse aucune issue de secours, d’ailleurs après le repas le troupeau est libre de circuler entre les sièges, les postérieurs passent sur la ligne du regard , c’est gentil , ils vont aux toilettes en groupe , croupe tendue , ce qui offre l’avantage de faire la queue, imagine les effluves de bêtes qui vont faire leurs besoins.
Danger à Tanger , plus rien à manger, nos besoins sont ils relâchés en altitude ? Sûrement qu’il vole plus haut que nos pensées gloutonnes et nourrissent un tas de ressentiments livrés en satellites dans des plateaux-repas pour les sardines d’Essaouira et ça ira bien assez comme ça....
La vie se déroule comme un vrai repas
Le pet sonne le résumé lors du trépas
Certains pètent coincés comme une vie bloqué
L’histoire d’un pet qui se retrouve dans l’œsophage, comme si la vie voulait sortir par le mauvais orifice
Le pet solide comme les boules gonfle les glandes , glandeur de la vie , grandeur de la vie ?
Le pet sans odeur , vie sans saveur
Le pet sucré ou une bien grasse distillation des sucs, huiles essentielles d’une vie existentielle, calorigène issue d’un gène vivant et pas d’une gêne morte de honte, comme un pet foireux, la vague bleu Marine , merde c’est la courante qui trace ton fond
de caldé en bleu, blanc, rouge, tu as des hémorroïdes à force de te faire enculer par les collabos, tu chies des croix gammées qui t’arrachent le fion, tes pets sentent la mort qui s’approche.
Dans la vie moderne comme une reine morte, la gastronomie sans gaz produit du format sans saveur
La scène de Vinci témoignage d’une vie bien différente de ce que l’existence nous donne à digérer, on vit moralement comme à la fin du 19° dans les méandres d’un intestin sans instinct, le Bouregreg résonne dans ce tube de l’année.
Jésus pète de bonheur après ce bon repas entre potes , l’histoire a censuré son odeur. L’instinctif bruyant du pet est trop vulgaire
Peter un gros coup pour libérer ses pulsions
Peter sans odeur comme une vie pasteurisée, exhume tes flatulences relance de fragrance aux sens plein d’absences.
Un gros pet foireux taille sa route entre des embouteillage de merde , il glisse sur les victimes d’habitués à l’immobilisation du temps , le pet fuse et ne résonne pas plus haut que leurs klaxons impuissants
Pousse ton pet dans le conduit , sauf conduit de merde ,tu passes les frontières de la cuvette trop pleine de miasmes , passe porc tu bouffes tes pêchers , t’empêches la zone de couvrir les murs de la honte , pet de bourge ou pet de barge , l’odeur est la même , le caviar sent comme la sardine , le pet confond toute les origines , le pet s’est comme le multiculturalisme de l’estomac , hé la France comme un gros tube digestif , les cheblanc voudrais que tu leurs ressemblent , alsaciens bretons même combat , algériens sénégalais mangez du camembert , pétons ensemble la même mélodie , prout prout la France , j’aime ton côté prout... proust , pet de madeleine , c’est la french touch , un petit fumet patriotique antibiométrique automatique , vas y pète mon frère , pète ton amour du pays.
Comme un pet brûlant , tes lèvres ont la saveur d’une campagne aux engrais fixés à la fleur de daube , gorge chaude , tu roucoules du cul comme un albatros maculé de goudron , quelques gouttes de gaz liquide se fendent comme des larmes sur ta face arrière , met les gaz ma poule et roucoule avec ton fion , pond nous un pti gaz de derrière les réchaud , si t’as mal ventre , pousse les gaz au raz des marées chaussées de merde , les flics se la pètent avec leurs lunettes , ils calculent ta vitesse d’expulsion , interdit de péter plus vite que son ombre sous peine de rétention au centre des gaz et si je pète les centres de rétention ??? , les vagues bleues Marine s’enferment dans leurs chambres à gaz , sous un tas de fumiers nostalgique de l’Empire , pas celui du shit , merde française qui se fume entre bleu ,blanc et rouge de honte d’être dans le gaz , ils échappent à la généreuse foirade de la multi-culture , pétons avec nos frères , cul blanc béni , cul noir rebondi , cul jaune d’or , tous du cul dans la vie , alors Marine on se la pète ? crac crac les sondages ,avec la peur comme fond de commerce on est tous devenu des pètochard , péte haut et moucharde , Et si les journalistes qui annonce à ton arrivée ,du caca général, si c’n’est pas des gros pets, les journalistes sont des caisses de résonance comme des grosses flatulences ils parfument les infos de fait divers scatologique et font la place aux merdes pour quelle arrivent , allez Marine ramène ton gros cul de fausse blonde , allez
chante Marseille en pétant juste , la France à la tourista avec tous ces étrangers, ça va péter ...
Bon sang ... mais c’est quoi qui coule dans tes tripes ou est ta mauvaise graine ? Rien que ça ? Mais t’es fou ?
Bin t’es pas rigolo ma poule, si tu pianotes ces quelques spasmes en fantasmant sur une vie d’artiste du fion , Dufion JC et hop en 40 avant JC Duf’ t’étais un gros cigare coincé dans les méandres d’une vie digestive et peu active .
Alors mon beau brun t’es coincé dans un virage du Bouregreg, bourré Greg tu glougloutes?
t’es trop rigide ?
pourtant je pourrais te transcender en torrent , t’es de la courante , tu causes le langage des signes ?
Fort peu mon gars ça se sent que t’as pas fait de créneaux depuis des lustres , alors astique ton volant et tourne , retourne dans les intestins et refait le trajet de ta vie .
Tu brunis à l’ombre , t’es bien rare dans ton cas de bronze , les normaux brunissent au soleil des envies folles , toi tu deviens d’un beau bronze dans ta lente descente obscure vers la lune noire et tu l’éclates à chaque passage , passe et repasse le film de ta vie , il s’enroule bien ouaté et comme une vie torchée , finir troué et rincé dans une cuvette pleine d’eau bénite , ahhh mon cœur , t’es bien lisse à force de glisser contre les parois qui guide ton odorant destin , quel parfum ....
Dufion JC c’est l’an zéro , quand tu touche la surface de l’eau c’est le signal de ta fin ,selle ou celle d’un destin qui se scelle dans le vide .
Moulé par la force de gravité , gravité de cette lourde pensée , que te reste t’il à la pesée ? à la fin c’est l’ultime test on pèse ton âme , elle doit être plus légère que la plume qui écrit ce texte de scato , c’est pas rigolo , t’es tout ridé à force de te crisper , vas y pousse poupousse mon ange noir , t’as l’pampl qui mousse , donne toi de l’amplitude , du rythme dans la contraction c’est ton heure . Bientôt tu vas plonger dans une nouvelle tuyauterie, remonter le fleuve de la vie, celle que tu maudis si remplie et si pleine des fragrances de tronc pourris .
Les balais brossent ton visage ,
ils effacent les traces de ton passage dans la cuvette. Tu t’apprêtes à tournoyer dans le rythme .
Marque ton passage d’un éclair de zèbre ,
tu signes brun , ooooh ,
c’est ta dernière danse enroulée , Dance a rock and roll in th’ lavotories ,
you are the champions of brownies .
Allez hop c’est le voyage au bout de la nuit dans le bateau ivre de bonheur de se sentir ainsi quitter la maison mère.
Décontracté du fion ,
JC Duf’ se prélasse dans de nouvelles psy- canalisation , faut se faire une raison d’ailleurs du fond du pantalon .
Libre des contractions anales
Tu glisses dans l’éternel canal
Et passe au stade subliminal
Je me demande à quoi ressemble une grosse merde qui sublime sa vie intracorporelle , à quoi joue t’elle ?
C’est quoi la vie antérieure d’une merde ,
c’est quoi sa consistance ?
nourrie à la repentance ?
Selle d’une vie bien mince
Ou très grosse à s’éclater la rondelle ,
Pour produire de biens grosses ficelles
Solution finale d’une merde qui tire sa révérence comme une grosse ficelle qui sort d’un cul chanceux et trouve une issue heureuse face à une telle introspection en évacuant ses ressentiments dans la fosse commune des souvenirs nauséabonds
Pour tirer la chasse d’eau sur cette poisse faut d’abord comprendre en quoi consiste la merde , être une merde ou ne pas naître ? comment naissent les merdes ?
Des effets que tu maîtrises
Déféquer tes mêts...to rise
Voyage au cœur du système digestif d’une vie comme un repas ou le caca se résume aux fragrances d’une présence d’amour intense .
Une enfance volée donne le caca sans odeurs ,
C’est la chiasse de peur d’être pas à la hauteur.
Une enfance gâtée et riche en lait maternel plein de protéines produira un caca odorant et persistant d’une longueur impressionnante , ce genre de merde est très envahissante et recherche toute sa vie beaucoup d’affection , cette nostalgie d’intestins utérins se prolongera sans fin , ces merdes là sont inconsolables , tu pourras te torcher jusqu’au sang pour t’en séparer , elle vont te coller le fion sans raison et te marquer à la culotte comme le fer rouge marquait les traîtrises et les félonies .
À force de fouiner, j’ai bien cherché dans le gros-cul de la vie à expulser quelques envies de trouver une merde sympathique pour peu qu’elle existe dans mon imaginaire
Tube digressif de ce texte sans salive et plein de sucs digestifs, je me suis même osé à mettre un doigt dans le cul de mes pensées régressives, j’ai cherché la merde qui sent bon, la merde sympa, relax
du sphincter , telle le sphinx elle renaîtrait en forme de pet silencieux et langoureux .
Une merde dématérialisée , un caca virtuel , voilà la merde idéale , celle dont rêve tout les psy du stade anal , tu as si bien digéré que rien ne reste de ta vie qu’un long pet musical , un gaz spirituel , une fleur de selles .
Vais-je état de rien être ce ce tas de rien? IL végéta à rien pour passer d’un corps mort à un corps beau, le corbeau qu’il vit à travers le hublot des toilettes fut absorbé par le vide de ses pensées. Les frères végétariens ont opéré depuis longtemps l’apo..caca..tastase du monde après que le Feu du foie l'aura détruit, l’Aura détruite d’un Feu... foi supérieure d’un Monde plantant des légumes pour sauver la planète des mangeurs de viande aux antibiotiques. Je cherchais les raisons pures pour espérer une naissance à nouveau , une régénération digne de notre palingénésie cosmique.Il fallait désigner une reconstitution ou apocatastase au travers de cette digestion et opérer sa combustion dans les réacteurs de ce vaisseau volant sur un Monde surexploité par les serpents qui le dirige sans plan de vol.
Pas besoin d’être sage pour juger de la production du méthane, métaphysique et pensée occidentale, on lâche nos pets carnassiers les cimes immaculés de l’Atlas, t’imagines tous ces plateaux repas de
restes d'animaux terminent leurs course dans l’atmosphère de nos frères méditerranéens, Atlas a son ventre remplis de nos détritus et porte le Monde des riches. Le tarma attend son tarmac pour atterrir comme une Rlah ici bas.
C’est bien mieux qu’un saint sacrement aux exégèses gonflées à l’azote liquide , des satellites l’ont repéré en mouvements, troupes de terreurs anciennes , l’ombre d’un colonel dicte ses pensées surannées protégé par l antimatière de ses boules , elles surfent sur la région du repentir, des poids morts les maintiennent la tête en bas , sans quoi elles planent aux quatre vents du changement , portés par ses petites boules gonflées à bloc , aux limites de la rupture ,c’est quoi cette rédemption soudaine ?
La contrariété jetée face au rives innocentes dans l’attente d’une réplique, un courant d’air rempli de frustrations submerge la fusion des cœurs , impossible réaction en chaîne , ou l’amour se déchaîne sur les corps vides d’ envies .
Au temps des colons la méprise était fixé chez les méchants ,les bandits , faciles à reconnaître avec leurs casques blancs et leurs peaux rouges, cette race est étrange; elle s’installait dans une civilisation considérée comme inférieure. La race coloniale vivait douloureusement cette contradiction d’exil volontaire et d’ignorance involontaire. Elle subsiste encore de nos jours mais une autre plus méprisante, c’est inventé son paradigme dans le goudron des centres villes , cette dernière espèce est une version inconnue pour nos amis de Casa, elle est née après 1961 en même temps que le narrateur. C’est une race hybride, qui vit la peur de l’autre sur un écran à plasma et se dope aux journalistes
salariés par les élites occidentales. La traversée du ciel et l’atterrissage ne peuvent être payé en pièces d’or, en- dehors des fruits du labeur ou des légumes en forme de vagues intelligence. L’égo dominateur ou toute forme d’hybris nous ferais automatiquement refouler des douanes, nous serions obligés de revenir en bus, la compagnie n’accepte que les payement en espèces naturelles, les cartes de crédit provoquent de grave turbulences et des trous d’air extrêmement anxiogènes.
Les natifs berbères sont nés loin de cette misère intellectuelle, ils ont grandis au cœur d’une nature généreuses qui a produit des fruits pour tout nos frères de la création et du ventre du grand Atlas. Ils se nourrissent de l’esprit des lieux en ne consommant que des fruits de la Terre.
Il curieux de constater qu’aucun d’entre ces fruits ne convient au générations qui suivent , les méchants ont plus de super pouvoir que le grand esprit lui même et ceux qui sont restés neutre n’ont jamais vu une étoile scintiller dans l’obscurantisme qui donne sa consistance aux dogmes actuels , on a retrouvé une foie pour les bêtes , cachons nous face au risque de violer votre intimité et chantons des quantiques inventés depuis si longtemps que leurs récitation rythmique produit un avilissement chez ceux qui les récitent sans comprendre dans quel contexte ils furent conçu , leurs prières ne sont que de rudimentaires remèdes , je cherche ici des hommes sans médecine capable de faire renaître le Grand-Esprit sur ce vol Paris Casa .
Fez nous regarde passer comme une imitation grossière de migration , une immigration sauvage ferait un bel équipage , le notre est sans le sel de la vie n’atteint pas la légèreté des plumes du grand manitou, on a pesé l’âme des passagers assis en buisness et de ceux qui bossent en MacBook mal assis sur les classes économiques , conclusion des boites noires , mauvaises répartition des âmes et surcharge anormale des sondés pitoyables pitos , il ne savent dire à quel vitesse il évoluent , il ne savent pas dire sans instrument de mesure , s’ils ont atterri sous terre ou sur des nuées de pensées.
Dans les turbulences de somnolences , quelques évanescence viennent tirer leurs révérences face à tant d’abstinence de danses du soleil, dans mon sommeil, elles nous tinrent ce langage :
Face de gaouri point ne te sourit, retourne à ta terre ancestrale , ton histoire ne reviendra plus , j’ai reçu de bien pâles échos dans mon casque colonial dépressurisé, le son dolby ne produit plus les mêmes états extatiques de retour sur soi , il est vrai que la narration n’as de loin pas la magie des première lignes, Paris Casa accepte ses maigres songes que nos transports captèrent en ces terres étrangères.
Pourquoi nos transports d’habitudes si bavards sont-il avares de nouvelles histoires, faut-il absolument entendre nos esprits dans ce casque colonial, le son est modifié dans une carlingue dépressurisée , tel un beau filon nous l’avons exploité sans volonté de le réutiliser .
Sans doute le casque ou la cabine forment un couple moins complice avec l’esprit qui vint aux cours de nos dernières traversées , je prie de retrouver cet état d’esprit ou le mien est pris par la simple parole du très Grand Esprit , il y a en éco , un écho lointain de la verve qui est sienne , suis je orphelin de ces paternelles odes qui tournent et rôdent sur le bureau des pensées suggérées , ai-je eu une seule fois des pensées propres à moi même
, est-ce seulement possible ? Je ne suis qu’enveloppe charnelle conçue pour être l’objet du désir de la Mère Supérieure, la mer inférieure défile comme un vieux disque avec ses sillons écumés par les diamants, pas de dote pour cette Mère Supérieure. Un visage rassurant pour mes enfants , mais en profondeur aucune âme qui vaille , un leurre serait plus révélateur de l’état de la chose , nous lançons cette ode à ceux qui aiment cette personne que je suis censé être et incarner pour leur bonheur personnel , en vérité , l’esprit veut me dire que je n’existe que pour autrui , j’ai bien vu le visage suralimenté d’un quinquagénaire mais je n’arrivais pas à reconnaître le même en trentenaire , la laideur des peaux pendantes et prêtes à se revendre pour quelques années de moins , l’homme occidental est un mythe de jeunisme , le poids du temps lui est fatal , Celui du héros grec se retrouve dans cet archétype de l’homme occidental, il est soumis aux religions et aux progrès de la science.
L’homme esprit est celui que nous recherchons dans ces vastes contrées longtemps préservées de cette mythologie de la réussite et de l’affirmation de soi, l’homme esprit se vit comme la branche par rapport à l’arbre, il est dans une quête de résilience naturelle.
Voilà la formidable capacité d’auto suggestion de l’esprit sur la pensée , l’esprit est lucide , la pensée logique , une pensée est explicable ou alors n’est pas digne de figurer au panthéon des phrases malines et assassines .
Le drame dans cette affaire vient de la nature qui n’as aucune logique profonde mais peut être classifiée pour le besoin de compréhension logique , en vérité l’esprit anime chacune des partie de cette nature et il n’as aucune logique telle que l’on veut bien en définir une , de même que cette caractéristique que les logiciens nomment intelligence , elle ne serait en vérité qu’un exercice de style ou un habile montage de pensées bien ordonnées .
L’esprit se fiche d’avoir raison ni même d’être compris par les passager de ce vol et encore plus de ceux resté au sol , il se fiche de la reconnaissance , des vaines prières et surtout de son adoration , l’esprit est fier et généreux , il aime tes efforts pour élever ton style , il aime entendre le son de sa voix transmis par le clavier que tu actives pour qu’arrive cette missive aux anges .
L’esprit s’incarne dans des personnage ailés , voler en rêve c’est accomplir son
destin ,les grands esprits volent , pour suivre sa course dans le ciel pur d’ un vol Paris Casa Parie que nous avons utilisé la technique du leurre et de celui qui se meurt , en
restant dans son mensonge , croyant à l’agonie d’un chevalier inexistant , il revient avec son timbre colorer ce tableau de nous même dans un ennui profond et maîtrisé .
Merci les petits lardons vous aviez raison de croire en votre meilleure destinée dans cet épisode troublant de l’existence d’un vertébré tiraillé par des assises économes en confort , la maison mère entend vos douleurs et vous propose une place en son saint siège,
Nous ne serions que remercier le Grand Malâk ailé qui vient nous sourire et d’un regard complice vous invite plus haut dans la carlingue du zingue .
Bienvenu dans le ciel, c’est sûrement le plus bel endroit de la terre et les surclassements en classe à faire,
Respect aux gazelles , aux fumées du tajine, aux sept signes et bien sûr nos meilleures salutations aux amis de la tour de contrôle à Casa. Ils conseillent nos pilotes sur le meilleur des routages pour bien rester au delà des nuages , nous avons obtenu l’autorisation de débrancher les systèmes anti-gravitationnels du monde réel .
L’abstinence de gravité terrestre dans ce texte ,nous place bien plus haut que les grattes ciels de Casa très ancrés dans le brouillard du matin, leurs fondations plongent dans l’argile des ancêtres se nourrit de nos terres anciennes .
Le conseil des sages a décidé sans eux qu’une grande turbulence viendrait aspirer les bénéfices des nations , les rapaces planent sur les travailleurs , c’est la danse des marché , les notations AA Abuse des vieilles ruses , triple AA Abuse et ça m’ AA Amuse , AA+ muse , note bien cette cotation de l’âme bien plus légère en zone immortelle , Ahah AA+ de mortels dans la peine , big brother tousse , le monde va être malAAde , je fais signe aux hôtesses que je refuse d’AAterrir dans cette crise collé au sol , je veux pas revenir pour ne pas sentir l’odeur du mensonge des pyramides de Ponty.
Tu souris dans ton cachot volant, il te reste 239876 années à attendre que ce Monde-là s’effondre , alors chante l’histoire des esprits volants sur Loyal Air Mon-Rock , viens mon âme je t’attends là haut pour te retrouver en dehors de mon corps dans ce transport douillet des souches mères, range tes affaires et suis moi dans le couloir des lumières .
Le temps qui passe s’arrête le temps qu’un vide s’installe autour de tes oreilles qui veillent sur du réel, une lueur de pulsion perle sur ton front , quitter l’envie de tout et laisser le désir aux bons soins des nourritures terrestres , ici bien haut c’est de la confiture céleste qui reste dans ton estomac bien inutile dans de tels transports de l’esprit , ici tes
flatulences volent plus haut que celle des autres , sans bruit et sans odeur dans ce vol sans peurs. Distance parcourue 1000 km ,moins 47 degrés, altitude 11880 mètres, nous voilà dans des conditions idéales pour se faire mal aux méninges .
Les jalouses incompréhensions nées d’une peur chronique de se perdre dans les méandres de nos faiblesses humaines nous reviennent sans cesse .Le mufti commandant de bord nous informe que l’attraction terrestre nous pousse jusqu’à nous ses crampons et nous attire furieusement vers une maladive jalousie qui empêche de parcourir le monde qui nous intéresse , il faudra choisir de vivre sans attaches , dans le simple appareil du dénuement total , sous peine de se voir confisquer l’anti-attraction qui nous a été offerte par les hôtesses du vol , le confort de la classe affaire devait nous faciliter extraction de quelques odes à la grandeur de l’esprit maghrébin,à quoi bon tant d’amour volé , quitter la ligne claire du plan de vol pour rejoindre celle du ressentiment et de la peine du cœur.Le grand saut dans l’espace c’est une vocation à respecter comme un sacerdoce , il ne tolère que l’ascèse et fuit la séduction comme la colère , il se vit dans l’absence , la répétition des rythmes de cette prose voudrait mettre l’esprit dans l’attente d’une transe et attendre que Houston guide nos premier pas dans l’espace de ce rêve conscient .
Reste 1h 33 dans ce siège à espérer que suffisamment d’ondes du
cosmos viendront brûler ce qui reste de lucide dans nos souvenirs
d’une existence pesante et terrestre , les mots qui nous viennent
à l’esprit ne sont que des voix venues de si haut , le son feutré
du casque audio distille ces douces paroles , serait t’elles si
divines que nous aurions la prétention d’avoir rencontré Ibn Al
Arabi, même en rêve relatif et plein de superlatif , nous aurions
détourné la lumière et dépassé sa vitesse pour retourner en
arrière , labourer le champ ou poussait le blé qui nourrissait nos
vies antérieures ,refaire le trajet manqué , prendre les bonnes
décisions qu’il aurait fallu prendre , ne rater aucun virage ,
arracher les mains qui cachaient les obstacles que nous aurions pu
voir à temps et éviter de casser la vie qui nous était si chère ,
dans cet air , moins 44 degré on vire doucement vers le bercail ,
il n’y a pas de mal qui aille , laisse le spectacle des anges
battre la mesure avec leurs ailes et te suggérer ce rêve ouvert .